Le Grand-Duché de Luxembourg avance sur la voie de la séparation des Églises et de l’État.
Il y a plusieurs mois déjà, le Parlement supprimait les effets du Concordat napoléonien (maintenus jusque-là en vigueur : en 1801 le Luxembourg était français) : les prêtres en exercice sont salariés jusqu’à leur 65ème anniversaire puis bénéficiaires d’une pension, mais les nouveaux curés n’auront plus cet avantage…
De même, l’enseignement religieux confessionnel dans les écoles publiques est remplacé par un enseignement général du fait religieux…
La suite du commentaire de Michel SEELIG, (Président du Cercle Jean Macé de Metz) et l’article paru dans le journal luxembourgeois Le Quotidien :